Plainte envers radio-canada contre
le service de nouvelle la première chaîne de la ville de Québec
diffusée le 02 février 2012. -
Faut-il réglementer la vente des bonbons et autres sucreries?

1-Ma plainte

Leur réponse
Ma réplique
1
>L'évangélisation anti-sucre/obésité de radio-canada

J'aimerais me plaindre contre le service de nouvelles de la radio de la première chaîne de la ville de Québec pour avoir fait un choix éditoriale de parler d'un sujet non pas pour informer les gens mais pour nourrir leurs propres croyances anti-sucre (propagande).

Lors des nouvelles régionales diffusée à 7h30 le 2 février 2012:

Faut-il réglementer la vente des bonbons et autres sucreries?

Explication

Comme, il y a des gens qui sont contre le fait de manger de la viande. Il y en a qui sont anti-sucre. Les tenants anti-sucre existent depuis longtemps. De nombreux livres contre le sucre ont été écrits. Ex.:

LE SUCRE
Le sucre, drogue douce !!

J'accuse Martin Boucher (le chef du pupitre) d'avoir utilisé les ondes de la radio d'État pour tenter de convaincre subtilement son auditoire d'adopter ses croyances.

À ce niveau d’incompétence, ce n'est plus du journalisme mais, un cas de maladie mentale ou d'une psychose schizophrénique paranoïaque.

Pour démontrer l’absurdité de ce choix éditoriale, ils ont fait une grossière erreur qui démontre leur mauvaise foi.

Ainsi dans la dépêche, on par d'une opinion

Faut-il réglementer la vente des bonbons et autres sucreries?

Et dans leur reportage le journaliste parle d'une recherche.

Ce qui démontre une fois de plus le choix éditorial fait par tous les services de nouvelles de radio-canada en faveur de la position extrémistes des intégriste anti-obésité/malbouffe.

Pourquoi le service de nouvelles de radio-canada français n'a pas mentionné cette recherche:

Malbouffe Pas d'impact sur le poids des enfants

Qui part d'une réelle recherche mais, Martin Boucher a décidé de faire un 2 minutes avec un vox-pop à partir d'une simple opinion.

Ce qui me permet d'affirmer que Martin Boucher avec son sujet: «Faut-il réglementer la vente des bonbons et autres sucreries?» n'a pas fait du journalisme mais a fait délibérément de la propagande pure et simple.

Les auteurs de cet opinion du lecteur sont des intégristes anti-obésité

Sugar: The Bitter Truth

Robert H. Lustig, MD

UCSF Lecture on Sugar & Obesity Goes Viral as Experts Confront Health Crisis

Authors@Google: Robert Lustig

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Leur réponse

Bonjour monsieur Breton,

Nous aimerions tout d'abord vous remercier d'avoir pris le temps de nous écrire. Vos commentaires sont importants et nous nous faisons un devoir de les lire et d'y donner le suivi approprié, s’il y a lieu.

Radio-Canada se réfère régulièrement aux différentes publications scientifiques afin d'alimenter toutes ses plate-formes d'information. Il serait impossible à chaque fois d'évoquer en un seul reportage les expertises et contre-expertises autour d'un même sujet et il est donc de bon aloi à Radio-Canada d'assurer un équilibre des différents points de vue au gré de l'évolution des différentes problématiques.

En l'occurrence, la revue Nature jouit d'une excellente réputation et est souvent citée dans nos reportages scientifiques ou d'information générale. L'article évoqué cette fois-ci est celui paru aux pages 27 à 29 de la revue Nature du 2 février 2012.

Dans son reportage, notre journaliste a résumé les principales conclusions de cette étude soit que la consommation de sucre dérègle l'appétit, qu'aux États-Unis les frais médicaux attribuables à la mauvaise alimentation s'élèvent à 150 milliards de dollars et les pertes de productivité à 60 milliards. Les chercheurs suggèrent donc que comme dans le cas du tabac et de l'alcool, on songe à limiter d'abord la publicité puis la vente de sucreries aux mineurs.

Comme il est aussi de commun usage à Radio-Canada de recueillir les commentaires des gens sur une question donnée dans le cadre de ce qu'on appelle des «vox pops», notre journaliste s'est aussi déplacé dans un dépanneur afin d'obtenir les réactions de consommateurs face à de telles recommandations. Il ressort clairement de ce simple échantillon aléatoire, que les gens ne seraient pas prêts à accepter les recommandations des chercheurs.

Nous ne voyons dans toute cette démarche aucune dérogation au travail de journaliste. Notre journaliste a rapporté fidèlement l'essentiel de l'article et ne s'est jamais prononcé pour ou contre la thèse développée par les chercheurs. Bien au contraire, il a soumis les conclusions à l'opinion de simples citoyens qui ont tous désavoué les recommandations.

À nouveau, je profite de l'occasion pour vous remercier de l'intérêt que vous portez à Radio-Canada. Notre mandat est d'offrir aux citoyens une couverture de l'actualité qui respecte des standards élevés, notamment l'exactitude, l'équité et l'impartialité. Le reportage que vous mettez en cause respectait ces standards.

André Duchesneau.


Ma réplique - Demande de révision

Je ne suis absolument pas satisfait de la réponse de monsieur André Duchesneau. Il n'a pas compris la teneur de ma plainte. Il n'a pas admis l'erreur de son journaliste d'avoir présenté l'article de la revue Nature comme le résultat d'une recherche (une étude) quand cela n'était que la présentation d'une opinion de trois chercheurs.

Tu ne fais pas une nouvelle à partir d'une simple opinion tout en laissant croire aux gens que c'est un fait que le sucre est un poison toxique. En effet, car cela serait tirée des conclusions d'une recherche (étude) scientifique.

>L'évangélisation anti-sucre/obésité de radio-canada

Dans sa réponse, André Duchesneau confond opinion (interprétations) et étude (conclusions) scientifique. Il m'écris «dans son reportage, notre journaliste a résumé les principales conclusions de cette étude.»

Et plus loin, il m'écrit: «Notre journaliste a rapporté fidèlement l'essentiel de l'article et ne s'est jamais prononcé pour ou contre la thèse développée par les chercheurs. »

André Duchesneau manque de rigueur intellectuelle, il parle de conclusions (faits) d'une étude et d'autre part d'une thèse sur laquelle on peut être pour ou contre. Pourquoi parle-t-il de conclusions d'une étude ce qui sous-entends des faits, tandis que l'article dans la revue Nature n'est que seulement une opinion du lecteur ?

L'allégation «les frais médicaux attribuables à la mauvaise alimentation s'élèvent à 150 milliards », c'est de la démagogie scientifique pure et simple. C'est quoi bien manger, c'est très suggestif. C'est virtuellement impossible de faire une recherche pour déterminer clairement quelles sont les meilleures habitudes alimentaires qui coûteraient le moins cher en frais médicaux. Il faudrait faire cela sur 300 ans pour arriver à des conclusions un peu valables.

Du sucre, c'est du sucre. Il n'existe pas du sucre de synthèse, le sucre est un produit naturel. Comment serait-il possible de faire une recherche en différenciant les différentes formes de sucre (lactose, fructose, glucides, etc) pour définir celui qui causerait le moins de frais médicaux, quand notre corps ne peut pas le faire lui-même, parce que notre foie les transforme tous en glucose?

En conclusion, le journaliste a présenté faussement «les frais médicaux attribuables à la mauvaise alimentation s'élèvent à 150 milliards» comme un fait scientifique. Martin Boucher n'aurait jamais du décider de faire une nouvelle avec cette histoire, qui ne tient pas de bout, afin d'éviter d'induire dans l'erreur son auditoire.

Pour les auteurs de cette opinion du lecteur dans la revue Nature, étant des intégriste anti-obésité, le sucre n'est pas tant un poison mais, serait responsable de la prétendue épidémie d'obésité. Leur objectif est de faire de la propagande, de faire peur aux gens.

Liens:

L'opinion a été publié dans section News & comment du site de la revue Nature et non dans la section research

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Les journalistes de radio-canada sont partis de l'article du Journal la presse et dans cette article on ne mentionne pas d'étude ou de recherche, pourquoi ceux-ci ont-ils travesti cette information ?


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