Obésité
Morbide Sujet: La corruption bariatrique On peut y lire: L'Agence d'évaluation des technologies et des modes d'intervention en santé (AETMIS) a publié aujourd'hui une étude sur le traitement chirurgical de l'obésité morbide. Cette étude confirme que les différentes techniques de chirurgie bariatrique utilisées au Québec sont considérées comme efficaces et sécuritaires. Aussi, le rapport recommande d'accroître la capacité du réseau de la santé d'offrir la chirurgie bariatrique au nombre croissant de personnes concernées. L'obésité est maintenant considérée comme un problème de santé publique majeur et a même été déclarée épidémie mondiale par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Selon la Dre Véronique Déry, directrice générale et scientifique de l'AETMIS, "avec un taux d'obésité supérieur à 20 % en 2004, le Québec n'échappe pas à cette épidémie". L'obésité est définie par un indice de masse corporelle (IMC) égal ou supérieur à 30 kg/m2. À partir d'un IMC de 40 (voire même de 35 lorsque la personne est aux prises avec des maladies associées), on parle d'obésité morbide. Pour ces cas, selon l'OMS, la chirurgie est le seul traitement efficace. Chirurgie bariatrique La chirurgie bariatrique regroupe actuellement un ensemble de techniques qui peuvent être classées en deux types principaux d'interventions. Les premières visent à réduire la capacité gastrique, c'est-à-dire le volume utile de l'estomac. Les secondes, dites mixtes, associent à cette restriction gastrique la création d'un système de dérivation dans le tube digestif afin de diminuer l'absorption des éléments nutritifs par l'intestin. Ces techniques sont pratiquées par incision de la paroi abdominale (laparotomie) et, depuis quelques années, presque toutes peuvent aussi être réalisées par laparoscopie. Sécuritaire et efficace L'analyse des données disponibles indique que les différentes techniques de chirurgie bariatrique utilisées au Québec sont efficaces et sécuritaires. Dans l'ensemble, les techniques mixtes, qui associent restriction gastrique et malabsorption intestinale, sont plus efficaces que les interventions qui ne font que réduire la capacité gastrique. Les techniques laparoscopiques offrent quant à elles de nombreux avantages, comme une réduction de la durée d'hospitalisation, bien qu'elles ne soient pas exemptes de complications. Seules deux approches laparoscopiques sont assez au point et leurs effets assez connus pour ne plus être considérées comme expérimentales. Cependant, il faudra recueillir davantage de données pour confirmer leur efficacité à long terme. Les patients qui subissent une importante perte de poids doivent être suivis annuellement par une équipe multidisciplinaire qui, en plus de l'équipe chirurgicale, inclut des nutritionnistes, des psychologues et des médecins spécialistes. Une chirurgie plastique est souvent nécessaire. Dans l'ensemble, la chirurgie bariatrique s'avère une intervention coûteuse. Par contre, ses coûts pourraient être compensés en grande partie par la diminution de la prévalence des maladies associées à l'obésité, par la réduction de leurs conséquences sur l'utilisation des ressources du système de santé et des pertes de productivité causées par l'incapacité, de même que par l'amélioration de la qualité de vie des patients. Des capacités d'intervention et un accès équitable À la lumière de son analyse, l'AETMIS recommande, notamment, que le ministère de la Santé et des Services sociaux et les autres instances concernées déterminent les besoins actuels et futurs en chirurgie bariatrique, établissent un plan d'action pour accroître la capacité d'offrir ces interventions et assurent un accès équitable aux patients de l'ensemble du Québec. Les établissements offrant la chirurgie bariatrique devraient mettre en place un processus rigoureux de sélection des patients et d'établissement des cas prioritaires, disposer d'installations adaptées aux patients obèses et compter sur une équipe multidisciplinaire. Enfin, l'AETMIS recommande que soit mis en place un registre national sur l'obésité morbide et sa prise en charge permettant de mieux cerner la prévalence de la maladie et d'évaluer l'efficacité et la sécurité réelles des différents traitements chirurgicaux. Le rapport Le traitement chirurgical de l'obésité morbide : mise à jour, et son résumé sont disponibles sur le site de l' AETMIS. Mon commentaire Cela, c'est de la corruption pure et simple. C'est carrément scandaleux. L'AETMIS a utilisé mot à mot les arguments de ceux qui font la promotion du brochage d'estomac. Ce qui prouve leur manque d'indépendance dans la réalisation de cette étude. Cette étude est une racoleuse. Elle a un parti pris en faveur. Car, elle donne l'impression que le brochage d'estomac est une opération banale ne représentant aucun danger. Une opération qui est parfaite sans problème.Un portrait beaucoup trop parfait et angélique en rapport au fait que ce type de chirurgie est la plus controversée qui soi. En effet, le brochage d'estomac est éthiquement inacceptable de par la manière dont il fait maigrir. Éthiquement et logiquement parlant, en médecine, on doit traiter ou opérer seulement l'organe qui cause problème. En d'autres mots, on ne touche pas aux organes qui sont sains. On n'opère pas les reins, quand c'est le coeur qui flanche. Alors, dans l'obésité morbide, quel est l'organe qui fait défaut? Ce n'est pas l'estomac ou le petit intestin qui fonctionnent mal. Ce n'est pas non plus ces organes qui sont responsables d'obésité. La prise de poids est en rapport avec le bilan énergétique d'une personne. Ce bilan énergétique est géré par l'hypothalamus. C'est le thermostat du corps. Il maintient notre poids corporel relativement stable. Ainsi, si on ingère trop de nourriture, il augmente le métabolisme de base pour augmenter la dépense énergétique. Si on mange peu, il ralentit le métabolisme pour préserver nos réserves. Donc le seul et unique organe relié au poids corporel est l'hypothalamus. Donc, éthiquement parlant, c'est le seul organe sur lequel la médecine devrait s'attarder pour trouver un moyen pour faire perdre du poids aux gens. Nous pouvons comparer l'estomac au réservoir d'essence d'un automobile et le petit intestin à ses injecteurs. Une personne qui a tendance à engraisser facilement est comme une voiture économique: un petit 4 cylindres. Tandis qu'une personne qui a beau manger pour quatre n'engraisse pas d'une once: un gros V8 modifié. Réduire le volume du réservoir d'essence et la quantité d'essence qui se rend aux cylindres n'augmentera pas la consommation d'énergie. Au contraire, le moteur économique deviendra encore plus économique et moins performant. L'hypothalamus se compare à une jauge d'essence qui nous donne une information sur la réserve d'énergie. Pour éviter de tomber en panne d'essence, on ralentit notre vitesse pour pouvoir se rendre à la prochaine station service. Ralentir, c'est comme baisser le métabolisme de base. Le brochage d'estomac est une absurdité, parce qu'il fait abaisser le métabolisme de base. Il rend le corps plus économique qu'il ne l'est. Par conséquent, le seul objectif acceptable est de trouver un moyen pour faire maigrir en augmenter la consommation d'énergie: changer le moteur 4 cylindres par un 8 cylindres. Le deuxième élément qui est éthiquement inacceptable, c'est d'opérer une personne, mettre sa vie en danger, pour faire une thérapie comportementale. Thérapie qui utilise le conditionnement opérant découvert par Pavlov. En effet, le brochage d'estomac fait maigrir la personne par un renforcement négatif. Le brochage d'estomac empêche la personne d'ingérer, autant qu'elle le faisant avant, à l'aide d'une restriction mécanique. En d'autres mots, il est inacceptable de mutiler physiquement une personne pour la mettre de force sur la diète. On ne remplace pas la volonté par une chirurgie. Le brochage d'estomac est forme de punition donnée aux gens qui mangent supposément trop. Cette chirurgie est aussi inacceptable que de punir un voleur en lui coupant les mains. C'est absurde. Conclusion, l'AETMIS a été acheté par les chirurgiens intégristes anti-obésité pour obtenir un argument de poids afin de mettre de la pression sur le gouvernement pour soutirer plus d'argent pour faire plus de brochage d'estomac. Commentaire fait par José Breton
Complément d'information : L'histoire La chirurgie bariatrique efficace pour le traitement de Le Québec doit s'équiper pour lutter contre l'obésité morbide Publication du rapport - LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'OBESITE Le Québec doit s'équiper pour lutter contre l'obésité morbide Considérées comme efficaces et sécuritaires ???: Deux chirurgiens de l'hôpital Laval poursuivis pour 2 M$ 13 of his gastric-bypass patients have died from complications stemming from surgeries he performed. Supposé être une chirurgie de dernier recourt ??? Elle a subi une opération à l'estomac - "Je suis passée de la taille 24 à la taille 6!" Autres Gastric Bypass is Safe and Effective for Morbidly Obese Elderly Copie conforme. L'AETMIS a fait un copier collé. Risks and rewards of obesity surgery Le brochage d'estomac cause une perte de calcium the rates of death from gastric bypass surgery are far higher than previously disclosed. La chirurgie de la minceur le brochage d'estomac un procédure esthétique ? Obesity surgery carries risk for malnutrition 16% of 435 patients who had stomach stapling or gastric bypass surgery developed peripheral neuropathy Le brochage d'estomac cause une sévère hypoglécimie Gastric bypass surgery is barbaric, dangerous, and rarely (if ever) actually makes people healthier. Low Blood Glucose Levels May Complicate Gastric Bypass Surgery Some of the common side effects are: confusion, tunnel vision, and even black outs. Mise en demeure de Dr Gaétan Barrette
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