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La marche plutôt que la chirurgie pour Marie-Eve Vollant
Sujet:Faites comme elle, oubliez ça la chirurgie bariatrique! On peut y lire: Il y a trois ans, Marie-Eve Vollant était dans les étapes pour subir une chirurgie bariatrique, lorsqu'elle a décidé de mettre de côté le processus et de se prendre en main par elle-même. En août, elle fera un trek de 12 jours au Pérou. En voulant répondre au questionnaire, elle a réalisé qu'elle pouvait se prendre en main sans cette intervention médicale. Marie-Eve Vollant a fait un virage à 180 degrés dans sa vie en 2020. Elle a décidé de mettre derrière elle son passé, marqué notamment d'abus sexuels dont elle a été victime dans son enfance, et de regarder en avant. En mars 2020, elle s'est recentrée sur elle-même. La marche s'est alors trouvée au coeur de ses saines habitudes de vie. Elle chemine toujours dans cette guérison. Elle parle d'un cheminent dans le but de se dépasser, « oui, de marcher, mais ça me prenait des défis », dit-elle. C'est aussi de s'affirmer. « Être une femme, c'est déjà difficile, et être une femme autochtone, c'est encore plus dur, pour faire sa place et pour se faire reconnaître. » Sa guérison, c'est aussi l'équilibre, une guérison qui s'est transformée en dépassement de soi, « de démontrer que tout est possible avec les efforts. » La marche, c'est son rendez-vous psychologique. « J'ai le temps de réfléchir, c'est mon moment pour moi. Marcher, ça libère l'oxygène, c'est mon bienfait physique, mental et spirituel. C'est un catalyseur d'énergie. » Lors des trois dernières années, l'Innue de 43 ans de Uashat mak Mani-utenam s'est continuellement surpassée. Marie-Eve Vollant a entre autres fait l'ascension des monts Albert et Gosford et elle a découvert le kayak. Elle a aussi cumulé les longues sorties à la marche, des vingt kilomètres et plus. Sa passion pour la marche s'est aussi transposée en une participation à un demi-marathon à Granby en 2021 et à un 42,2 km, toujours à la marche, lors du récent Marathon Mamu. Ce dernier défi l'aura préparée physiquement et mentalement pour ce qui s'en vient, un trek de près de 12 jours au Pérou. « J'ai pensé à ça en mars », conte-t-elle. Une recherche sur Internet avec comme mots : randonnée, forfait et mondial l'aura mené vers Terre Aventure. Au cours de ce trek, elle dormira notamment quatre nuits dans une tente à 4500 m d'altitude. Elle part le 5 août. Elle séjournera aussi chez des gens où elle compte s'intégrer. Cette quête vers le sommet lui permettra d'aller chercher « une paix symbolique ». Après le Pérou, Marie-Eve Vollant envisage de faire le Défi des 5 sommets de Charlevoix, qu'elle compte réaliser sur une fin de semaine. Elle a aussi l'intention de soumettre sa candidature pour la deuxième saison de Survivor Québec. Dans la vidéo qu'elle acheminera, elle misera sur la résilience et sur l'aspect autochtone. Si elle n'est pas retenue, elle vise la Nouvelle-Zélande en 2024. « Je suis contente où je suis. Rendue à 43 ans, je n'ai jamais été aussi en forme de ma vie », dit-elle. « Ça aurait été facile [la chirurgie bariatrique], mais le travail était entre les deux oreilles. Je ne me prive de rien, si j'ai envie d'une poutine je la mange, mais il y a un équilibre avec mes saines habitudes de vie. Qu'importe le chemin, l'exercice doit être le fun. » Et si elle partage ces accomplissements sur Facebook, c'est pour susciter l'intérêt d'autres personnes et en inspirer. Il est clair qu'elle n'entend pas s'arrêter. « Je vais continuer tant et aussi longtemps que la santé va me le permettre et que mes pieds vont suivre. »
Gastric sleeve surgery gone wrong resulted in anorexia for mom of 4 Mon commentaire Ce cas soulève plusieurs questions. Premièrement, sur la photo, cette femme est loin d'avoir une forte corpulence. La chirurgie bariatrique n'est-elle pas censée d'être réservé à l'obésité morbide. Deuxièmement, ils veulent mutiler les Autochtones maintenant. Une communauté reconnue comme ayant beaucoup d'obésité. Finalement, elle avait le choix entre subir la chirurgie bariatrique ou se prendre en main. Elle a fait le bon choix, elle s'est prise en main. Choix que toutes les femmes devraient prendre sans exception. Ainsi, celles qui envisagent la chirurgie bariatrique devraient abandonner cette idée dès maintenant, car c'est une mutilation inutile. C'est une opération irréversible qui ne cause que des problèmes. La perte de poids est temporaire, mais les inconvénients sont permanents.
L'acceptation sociale et le silence des médecins qui sont contre cette mutilation, font problème. Parler de chirurgie bariatrique est un tabou. Les gens en parlent peu et n'ont pas vraiment d'opinion sur le sujet. Il n'y a pas non plus vraiment d'opinion contre qui circule. Si ce sont des médecins qui proposent cette chirurgie c'est sûrement correct. On ne va pas plus loin, on ne cherche pas à comprendre ou à s'informer. Par manque d'information, les gens n'ont pas d'opinion claire sur ce sujet. En conséquence, l'indifférence des gens sur ce sujet met de la pression sur les femmes pour qu'elles décident de subir l'ablation de leur estomac. Comme ce sujet ne suscite que peu de critique dans la société, dans l'imaginaire des gens cela semble correcte de le faire, pis si c'est les médecins qui le disent, cela devrait être vrai. Les femmes sont prises dans une prise de décision en entonnoir. Toutes les circonstances les poussent à se résigner à accepter de subir la chirurgie bariatrique. En en résumé, les femmes subissent de la pression de part :
- la valorisation de la minceur, La communauté médicale utilise sa position dominante (gardienne de la santé) pour imposer et intimider. Le Collège des médecins du Québec a pris position en faveur de la chirurgie bariatrique. Ils ont décidé de dire que c'est bien correct de sectionner un estomac sain ou en santé pour faire maigrir les femmes. On ne peut pas les critiquer et on n'a pas le choix d'être d'accord avec eux. J'ai poursuivi le Dr Laurent Biertho, en utilisant l'article 88.0.1 du code déontologie des médecins pour avoir fait des allégations inexactes à la télévision. Le syndic du Collège m'a envoyé promener. Ils ont refusé de faire un débat sur la pertinence ou pas de la chirurgie bariatrique. Pour eux, la population n'a pas besoin d'être bien informée sur la chirurgie bariatrique. Si elle était bien informée, ils ont peur que cela en décourage beaucoup à vouloir subir l'opération. Le Collège des médecins protège une opinion médicale militante, une position politique. Le Collège des médecins a une culture d'entreprise grossophobe. Les femmes doivent se pendre en main en faisant un effort pour réaliser qu'elles subissent des pressions, pour qu'elles acceptent l'inacceptable. Votre corps vous appartient. Ne mettez pas votre intégrité physique en danger entre leurs mains de médecins qui méprisent les femmes rondes. Auteur José Breton Commentaire fait par José Breton Complément d'informations: L'histoirePourquoi je suis radicalement opposée à la chirurgie bariatrique « Je ne veux pas me faire charcuter l'estomac parce que je suis grosse » COVID et OBÉSITÉ : La chirurgie bariatrique efface le supplément de risque Metabolic changes after gastric bypass surgery reverse within one year Perte osseuse après chirurgie bariatrique : un risque à considéré Lisa Marie Presley est décédée de complications liées à une chirurgie de perte de poids Subir une opération bariatrique à 18 ans À LA UNE Drame : OPÉRATION FATALE À L'INTERNATIONAL Le risque de décès suite à une chirurgie bariatrique Les opinions contre la chirurgie bariatrique Mises en garde contre la chirurgie bariatrique The Inconvenient Truth About Weight Loss Surgery Les décès au Québec Morte 3 jours après l'opération Deux chirurgiens de l'hôpital Laval poursuivis pour 2 M$ Hôpital Pierre-Boucher Une famille poursuit deux chirurgiens Un chirurgien de Pierre-Boucher radié trois mois en raison du décès d'une patiente L'opération bariatrique qui a tourné au cauchemar Autres Tout sur la chirurgie bariatrique Chirurgie bariatrique - Dénonçons-la Chirurgie bariatrique - Faites-le! - Allez-y !
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