Contrer l'homophobie à l'école On peut y lire: MONTRÉAL - Puisqu'ils doivent fréquemment composer avec des parents homosexuels, des comportements homophobes et qu'ils ont à répondre aux nombreux questionnements des jeunes, des professeurs de Montréal ont reçu un coup de main afin de les guider dans les démarches à adopter dans de telles situations. Le premier colloque Homophobie : s'outiller pour effacer l'intimidation s'est tenu dans la métropole, jeudi. Plus de 70 enseignants ont assisté aux ateliers et conférences organisées conjointement par l'Alliance des professeures et professeurs de Montréalet le comité Diversité-Identité LGBTA(lesbienne, gaie, bisexuelle, transgenre et ses alliés). «Je pense qu'on était rendu à travailler au niveau de l'intimidation, a expliqué André Patry, organisateur du colloque. Ce qu'on veut faire, c'est d'outiller les enseignants à faire face à l'intimidation et leur montrer en tant qu'enseignants, comment aborder cette question avec les élèves.» M. Patry a ajouté que le colloque vise également à apprendre aux professeurs à être «à l'aise avec qui ils sont» s'ils sont gais ou lesbiennes. Le comité Diversité-Identité LGBTA a d'ailleurs lutté pendant plusieurs années pour que les commissions scolaires instaurent des politiques pour contrer l'homophobie. Intimidation à l'école Même si l'homosexualité est plus acceptée qu'avant au Québec, il reste encore beaucoup de chemin à faire dans les écoles, estime M. Patry. «L'insulte numéro un dans les cours d'école reste : fif. On l'entend partout et même chez les enfants du primaire, parfois même en maternelle», a-t-il déploré. L'intimidation ne s'arrêterait toutefois pas aux mots et même s'ils ne sont pas fréquents, on compte tout de même quelques cas de violence physique envers les professeurs sur des bases homophobes. «On recense entre 300 et 400 cas de violence physique envers les professeurs par année, a souligné Yves Parenteau, de l'Alliance des professeures et professeurs de Montréal. Sur ça, on peut compter un cas d'homophobie avec certitude, mais il y en a sûrement plus.» «Comme les cas de violence dans la rue, certains ne sont tout simplement pas rapportés», a ajouté M. Patry. Les organisateurs espèrent désormais que ce colloque aura un effet boule de neige et qu'encore plus de professeurs y prendront part l'an prochain. Mon commentaire Les femmes rondes souffrent d'un gros manque d'amour-propre au Québec de par leur immobilisme face aux mépris, à la discrimination et à l'exploitation dont elles sont victimes. Pourquoi les gaies et lesbiennes, eux, ont décidé un jour de s'unir pour contrer le mépris et la discrimination dont ils sont victimes et les femmes rondes ne le feraient pas elles aussi à leur tour? Les jeunes femmes rondes ne sont pas seulement victimes de harcèlement et d'intimidation à l'école, mais elles le demeureront une fois adulte à tous les jours: de par leur entourage avec les commentaires désobligeants; de par l'état et la santé publique avec leur position intégriste anti-obésité/malbouffe; de par le milieu artistique qui n'engage que des femmes minces; de par les nutritionnistes et les éducateurs physiques qui répondent au faux besoin des femmes de perdre du poids; de par les médecins avec leur supplice de la balance; de par les psychologues qui aident les femmes à arrêter de manger leurs émotions; de par les motivateurs qui disent aux femmes que ce n'est qu'une question de volonté; et de par l'industrie de l'amaigrissement qui exploitent la souffrance des femmes. La promotion de la perte de poids, de la surveillance de son poids, du calcule de calories, associée à la survalorisation de la minceur envoient un message aux femmes qu'elles n'ont pas un corps correct ou normal. Ce qui constitue en d'autres mots une insulte, un mépris de ce que sont faites physiquement les femmes. Les femmes rondes se laissent insulter ainsi sans réagir, parce qu'elles sont convaincues qu'elles n'ont pas un corps normal. Peut-être, qu'elles acceptent d'être insulter parce qu'elles pensent qu'elles le méritent. Comment peut-on réussir à convaincre le contraire aux femmes, qu'elles ont un corps correct? Pour voir aller sur la place public défendre son droit d'exister et d'exiger d'être respecté, il faut être convaincu de sa normalité. C'est très dur pour les femmes de se convaincre qu'elles sont correct, lorsqu'il n'y pas de femme qui va au front pour montrer l'exemple à suivre. Malheureusement, il n'y a pas de solidarité féminine avec les questions d'apparence physique. On est loin de pouvoir organiser un colloque pour établir des stratégies pour contrer le mépris contres les femmes rondes. La cause, des femmes rondes, n'est même pas reconnue comme une cause en elle-même. Ce n'est pas toutes les femmes qui ne se trouvent pas correcte avec leur corps. Pourquoi celles qui aiment leur corps tel qu'il est garde le silence? Cela parce qu'elles ont peur d'être intimidé, de se faire traiter de grosse frustrée. La cause, des gaies et lesbiennes, est soutenue par les groupes féministes radicales, les syndicats, le gouvernement et le milieu artistique. Les femmes rondes tant qu'à elles sont loin d'être soutenue par des organistes, elles sont plutôt intimidé par plusieurs de ceux-ci. La cause des femmes rondes ne peut pas être défendue sans l'aide des hommes. Les femmes rondes qui ont une image corporelle positive se doivent de demander de l'aide aux hommes. Cette cause est une cause hétérosexuelle. Les féministes radicales du Québec imposent leur idéologie aux québécoises par le fait qu'elles ont pris le contrôle du conseil du statut de la femme. « Si c'est le conseil du statut de la femme qui le dit, c'est que cela doit être vraie. » Démocratiquement parlant, cet organiste gouvernemental se doit de diffuser l'ensemble des opinions et non d'en choisir une en particulier. Le conseil du statut de la femme a choisi le discours puritain du féminisme radical, un féminisme anti-sexe et abolitionniste de la prostitution (industrie du sexe). Cette position extrémiste est motivé par la misandrie ou la haine des hommes. En d'autres mots, c'est les lesbiennes qui contrôlent l'agenda du féminisme au Québec. C'est ce qui explique que la cause des femmes rondes ne les intéressent pas. Comme celle-ci concernent directement la séduction entre hommes et femmes. D'après elles, les femmes doivent se cacher pour éviter de se soumettre aux regards des hommes. De plus, les hommes seraient tous des psychopathes qui prennent plaisir à dominer ou à faire du mal aux femmes, etc. Par exemple, moi qui défend cette cause depuis 20 ans, je n'ai pas eu encore une reconnaissance à ma juste valeur. Je suis isolé, personne essaie de me contacter même par facebook. Il semble que je suis encore perçu comme pas à ma place, comme un cochon, un pervers, un pas bon et un douteux. La situation des rondes au Québec est très déplorable à cause des féministes radicales qui bloquent l'avancement de la cause des femmes rondes. Commentaire fait par José Breton Informations supplémentaires L'histoire: Le ministre de la Justice souligne la Journée Internationale de lutte contre l'homophobie Autres Weight Prejudice: Myths & Facts Les féministe radicales acceptent-elles des misogynes dans leur rang? Louis Roy que pense-il des femmes rondes ? Le comportement masochiste est encouragé et même glorifié pour les femmes au Québec. Le ministre de la Justice lance le Plan d'action gouvernemental de lutte contre l'homophobie Le plan d'action de lutte contre l'homophobie bien accueilli La FFQ salue le Plan d'action gouvernemental de lutte contre l'homophobie Vidéos » En vedette » 7,1 millions pour contrer l'homophobie... Prix Lutte contre l'homophobie 2011 - Jean-Marc Fournier La cause des femmes rondes Fat Activist Lesley Kinzel on How to Stop Dieting and Start Loving Your Body Scarlet Alliance at the F Conference, Part II Fat Acceptance - p.l.u.m.p - an IFF Film La cause des ronde est nécessairement pro-sexe
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