Le ministre de
la santé se mêle du dossier Sujet: Omission volontaire On peut y lire: Le ministre de la Santé, Philippe Couillard, souhaite en finir avec l'image de la maigreur propagée par l'industrie de la mode. Il est disposé à rencontrer les agences de mannequins et les publications magazines pour que la maigreur ne soit plus l'image véhiculée. Le ministre couillard a réagi hier, à la suite du dossier publié par le Journal de Montréal. Des mannequins montréalais ont dit subir une pression malsaine de la part des agences pour qu'elles perdent du poids, mais surtout pour qu'elles atteignent un tour de hanche idéal de 35 pouces. Certaines sont devenues anorexies, d'autres gardent encore les séquelles de commentaires abusifs sur leur poids. Si le gouvernement espagnol a décidé de bannir des passerelles les mannequins dont l'indice de masse corporelle est inférieur à 18, le ministre Couillard, quant à lui, ne veut pas «jouer à la police sur les catwalk». Semaine de la mode Aucun observateur ne sera envoyé comme ce fut le cas en Espagne, à la Semaine de la mode de Montréal qui a débuté hier. Le ministre Couillard souhaite toutefois mobiliser les acteurs du milieu pour qu'ils signalent les cas de mannequins trop maigres. «C'est une question très importante de santé publiques», souligne le ministre. «On se fait bombardier d'images de physique idéal qui ne correspondent pas objectifs de bonne-santé», ajoute-t-il. Selon le ministre de la Santé, il n'y a plus de preuves scientifiques à faire entre l'incidence des troubles alimentaires, chez les jeunes filles et l'image de corps parfait projetée par l'industrie de la mode. Les gens de l'industrie doivent prendre conscience de l'impact négatif de l'image véhiculée aux femmes, a ajouté Phillipe Couillard. Mon commentaire Premièrement, l'idée minceur égale beauté est une fabrication de l'esprit. On nous impose une vision de la mode comme étant un fait incontestable. C'est ça qui est ça. Nous n'avons pas un mot à dire. La mode avec anorexiques est une réalité incontournable. La mode ne peut pas être fait autrement que part des anorexiques. Bien voyons dont! Cette une clique d'homosexuels, de misogynes et de névrosées qui haïssent les rondeurs féminines. On n'a pas à se soumettre à cette gagne de psychopathe, qui s'amuse à faire souffrir les femmes avec leur image corporelle. On n'a rien à leur demander. On n'as pas à leur demander d'être un peu plus tolérants avec les rondeurs féminines. On doit les laisser «bad tripper» dans leur coin. On doit les envoyer promener. On doit leur faire le doigt donneur. Vlan! Ce qu'il faut faire, c'est faire de la place à la mode et aux mannequins de taille plus qui correspondent au 2/3 du marché du vêtement féminin. Le mode a un but de faire vendre du linge. C'est le monde qui porte le linge à que se sache, pas des patères. Le gouvernement du Québec et la ville de Montréal doivent subventionner une évènement de mode qui intègre les tailles plus et non pas seulement des anorexiques. Ne pas considérer le marché le plus important dans un évènement mode est économiquement insensé. C'est une façon d'insulter les femmes. «Vous avez assez d'argent pour vous acheter des vêtements mais vous n'êtes pas assez belles et présentables pour défiler dans une parade de mode», ils semblent nous dire. Habituellement, ce n'est pas vendeur d'insulter sa clientèle. Comme la semaine de la mode est un évènement commercial et subventionné par le ministère du développement économique, Innovation et Exportation. On ne devrait pas appeler cela la semaine de la mode de Montréal, mais la semaine des arts contemporains de la découpe de tissu. Comme c'est là, c'est plutôt un évènement artistique qui devrait être subventionné par la sodec. Dans un évènement artistique, il n'y a pas de problème d'utiliser des êtres humains à titre d'objets pour faire parti d'un décor. Mais, dans un évènement commercial on s'adresse à une clientèle pour tenter de lui plaire. Aucune femme rondelette ne peut être stimulée à acheter un vêtement qui est porté par une anorexique. Car, cela ne lui donne pas une idée de ce que ce vêtement aurait de l'aire sur elle. En intégrant la mode taille plus dans la semaine de la mode de Montréal on réglerait le problème des mannequins trop maigres. Des parades de mode avec anorexiques et avec de belles femmes en santé. Les femmes, ainsi, pourraient faire un choix. La solution réside à offrir ce choix et non de forcer cette clique d'obsédée de la maigreur d'utiliser des mannequins moins maigres. Commentaire fait par José Breton
Complément d'information L'histoire Les agences montréalaises se défendent d'imposer la maigreur à leurs mannequins. Il affirme toutefois préférer les filles très minces pour ses défilés. Les taux d'anorexie et de boulimie au Québec sont alarmants, selon les experts. Philippe Couillard, entend profiter de la Semaine de la mode à Montréal Quand on parle mode, on parle aussi souvent d'anorexie, un problème qui serait très répandu. À quoi ressembleront les mannequins qui défileront cette semaine à Montréal? Jean-Paul Gaultier utlise une ronde pour ridiculiser le débat sur les mannequins trop maigre. La polémique sur la maigreur des mannequins Les filles de 15-20 ans, une «génération formatée maigreur» Les taille plus the total market for plus-size products and services Plus-size retailers find a niche as waistlines expand http://www.figuremagazine.com/ Designers Focus On Plus-Size Clothing http://www.judgmentofparis.com/ Le Big Size Fashion Show de Séoul. La top modèle taille plus Mia Tyler L'audace de la boutique Lane Bryant Enfin un corps de femme réaliste dans la publicité Un peu d'audace pour Addition Elle Just My Size en comparaison avec Reitmans Les sujets
précédents : |
Copyright © 2005, Les Éditions de la femme Tous droits réservés.