RÉACTION suite à la remise des PRIX JUTRA
du 18 février Exemple patent de la discrimination anti-rondeurs féminines au cinéma Québécois
Commentaire Prenons en considération que le scénario de ce film est basé sur une histoire d'amour autour du génocide du Rwanda en 1994. Fatou N’Diaye habite la France depuis l'âge de 8 huit ans. Elle est donc plus de culture française qu'africaine. Dans la culture africaine, les femmes rondes sont valorisées et recherchées par les hommes. Tandis dans la culture française, c'est les femmes très minces qui sont valorisées et recherchées par les producteurs de film en france. La discrimination raciale constitue le premier obstacle qu'elle a dû surmonter pour faire sa place dans le milieu artistique Français. Nous pouvons concevoir, que pour eux, une femme noire « peut être », mais jamais une femme avec des rondeurs. Et encore moins pour un film d'amour. Tant au cinéma québécois que français, on n’a jamais choisi une femme rondelette pour un film d'amour. Faire une histoire d'amour avec un génocide comme trame de fond en utilisant une comédienne au corps stéréotypé ou standardisé du milieu artistique occidental. Cela démontre un manque de sérieux. Cela donne au film une allure artificielle, kitsch et kétaine. Pourquoi utiliser une comédienne au corps anorexique ? L'anorexie est une forme de génocide de la société occidentale.. Si 10 % des anorexiques en meurt, que 1 % la prévalence de l'anorexie chez les jeunes femmes de 12 à 25 ans. Selon statistique Canada : Composition selon l'âge de la population 2001 Nombre de femmes âgées de 15-19 ans = 1 001 180 + En d'autres mots, l'obsession de la minceur est mortelle. Il aurait dû choisir une comédienne rondelette et une africaine qui vit en Afrique. Cela aurait été, dramatiquement, plus réaliste et plus respectueux du contexte africain. Plus aidant pour l'image positive des jeunes femmes. Liens : RÉACTION après le visionnement de la remise des PRIX JUTRA 2005 Les Africains préfèrent les rondes
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