Nathalie Simard s'ouvre sur sa perte de poids dans ce nouveau documentaire
Revue 7 jours - 12 avril 2024 15H20

on peut entre autres voir Nathalie Simard qui confie qu'à la suite de sa chirurgie bariatrique, elle avait commencé à reprendre du poids.

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Sujet: L'absurdité de la chirurgie bariatrique

On peut y lire:

Dans le documentaire de Crave intitulé La piqûre de la minceur, Nathalie Simard se livre sur son parcours de perte de poids et les défis qu'elle a affrontés tout au long de sa vie.

Ce documentaire qui sera offert dès le 18 avril prochain explore un sujet d'actualité brûlant: l'engouement croissant pour les médicaments coupe-faim, tels que l'Ozempic, initialement conçus pour le traitement du diabète, mais devenus populaires pour leur capacité à favoriser la perte de poids.

À une époque où la société prône de plus en plus la diversité des corps et la valorisation de toutes les formes, cette fascination pour la minceur soulève des questions cruciales sur les normes de beauté et les pressions sociales qui pèsent sur les individus.

Bien qu'elle ne soit pas la seule à participer au documentaire, dans la bande-annonce, on peut entre autres voir Nathalie Simard qui confie qu'à la suite de sa chirurgie bariatrique, elle avait commencé à reprendre du poids. Elle est donc allée confier ses inquiétudes à son médecin qui lui a parlé du médicament Ozempic.

Réalisé par Émilie Ricard-Harvey et d'une durée de 60 minutes, ce documentaire propose une plongée au c½ur de luttes souvent ardues et contradictoires contre la gestion du poids. Il explore la question de l'obsession de la minceur corporelle chez certains individus, dans un contexte où la société aspire à promouvoir l'acceptation de la diversité et de la beauté de tous les corps.

Voici les premières images:

La piqûre de la minceur à voir sur Crave dès le 18 avril prochain.

Mon commentaire

Prendre de l'Ozempic après avoir subi une chirurgie bariatrique, il y a quelque chose là d'incohérent. Cela remet en question le bien-fondé de proposer aux femmes de se faire sectionner l'estomac.

Étant donné que 82% des personnes qui acceptent de se faire mutiler sont des femmes. La principale motivation n'est pas la santé, mais une question esthétique.

La chirurgie bariatrique est un moyen de perdre du poids bien trop drastique et extrême pour en justifier son utilisation.

Les conséquences et les complications sont présentes dans tous les cas. Aucune femme qui subit cette chirurgie n'en sort indemne.

La chirurgie bariatrique n'apporte donc aucun bienfait et n'a que des conséquences néfastes pour la santé physique et mentale.

La perte de poids ne constitue pas vraiment un bienfait pour la santé. Les personnes qui font de l'embonpoint sont généralement en bonne santé. Toutes les personnes peuvent être en santé peu importe leur poids corporel.

Les médecins qui pratiquent de l'ablation d'estomac, et qui en font la promotion, se justifient en dramatisant les prétendus dangers extrêmes de l'obésité. Pour eux, cette opération devrait être obligatoire pour tous les gros.

Le poids corporel n'est pas une maladie. Le brochage d'estomac ne traite donc aucune maladie.

Les médecins, qui pratiquent l'ablation de l'estomac alors qu'il est un organe sain, sont de pervers sadiques! Ils devraient être poursuivis en justice pour voie de fait grave.

Ils portent atteinte à l'intégrité physique des femmes, pour répondre à leur besoin de modifier leur image de grosse femme qu'elles haïssent profondément. Participer à un comportement auto-destructeur, n'est pas un acte médical.

Une femme qui accepte de se faire mutiler s'explique par un problème psychiatrique. Ces femmes ont besoin de soins psychiatriques et non de se faire sectionner l'estomac.

Dérégler tout son système digestif pour une question d'apparence physique, il y a quelque chose là de pas normale.

Prescrire de l'Ozempic à une personne qui a subi une chirurgie bariatrique parce que celle-ci a repris du poids, c'est avouer que la chirurgie bariatrique est inutile et qu'elle ne fonctionne pas. Cela brise le rêve d'avoir trouvé le moyen d'amaigrissement ultime une fois pour toutes.

Les femmes suite à la chirurgie, développent un trouble dissociatif. Elles séparent leur conscience de leur corps. Le corps va mal, mais tout va bien dans leur tête.

Exemple dans ce témoignage trouvé sur youtube de Maude:

Bypass 2020 : Constipation, diarrhée, gaz, tout ce qu'on ne dit pas après une chirurgie bariatrique

Cette femme début en disant qu'elle ne regrette rien, que c'est cela qu'elle voulait, pour ensuite élaborer sur des conséquences qu'aucune personne saine d'esprit pourrait tolérer.

Elle parle à son corps. Lui, il va mal, mais dans sa tête tout va bien parce qu'elle est en voie de réaliser son rêve d'obtenir enfin un beau corps à son goût.

Toutes les femmes qui subissent cette mutilation se mentent à elles-mêmes. Elles ont souffert et continuent à souffrir et osent dire qu'elles le referaient si cela serait à refaire. Parce que cela est trop dur de faire face à la réalité qu'elles ont fait une erreur de subir cette opération.

Informations supplémentaires

L'histoire:


Les femmes sont motivées par l'esthétisme


La croyance populaire : une chirurgie banale sans conséquence qui ne fait que faire maigrir

Extraits tirés:
Gérer les attentes d'une chirurgie bariatrique

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